L'équipe de France a souffert pour remporter son quatrième match de préparation aux JO, samedi face au pays organisateur, la Grande-Bretagne. Menés de 18 points à la pause, les Bleus ont arraché la victoire (79-74).
En recevant la Grande-Bretagne à Orléans, samedi, les Bleus s'attendaient à avoir un peu plus de répondant que lors de leurs trois précédents matches de préparation au tournoi olympique, face à l'Italie et la Côte d'ivoire. Les Anglais ont fait mieux que répondre, ils ont mené les débats et poussé la France à une belle réaction pour l'emporter (79-74). «On voulair savoir si on avait les tripes pour revenir de ces matches-là», expliquait après coup le capitaine Boris Diaw au micro de Sport+. La réponse est oui. Menés de 18 points à la pause (25-43) après une première mi-temps poussive, les hommes de Vincent Collet ont réussi à refaire leur retard.
En tête depuis la 7e minute grâce à un tir à 3 points de l'ailier des Bulls, Luol Deng (23 pts), la Grande-Bretagne n'a cessé d'accroître l'écart au score, profitant de la faiblesse offensive des Français, privée de Tony Parker. Le meneur des Spurs n'a joué que six minutes. Elle était loin, la victoire facile de l'an passé (82-60). Boris Diaw a alors remué ses coéquipiers à la pause, et réussi son coup. L'entrée de Yakhouba Diawara, non sélectionné pour les JO de Londres, a contribué à la relance (14 pts en 15 minutes). Kévin Séraphin a marqué le panier de l'égalité (68-68) à quatre minutes du terme et ses coéquipiers ont enfoncé le clou. L'heure n'était plus aux questions. Le jeune Léo Westermann (19 ans) s'est même offert ses deux premiers points en sélection.
Au final, c'est une victoire dans la douleur pour les Bleus qui vont devoir procéder à «quelques réglages», comme l'a souligné Boris Diaw, avant d'affronter les doubles champions d'Europe espagnols, mardi prochain : «C'est un problème de se sentir l'équipe favorite, donc face à l'Espagne, on sera dans une autre position.»
En recevant la Grande-Bretagne à Orléans, samedi, les Bleus s'attendaient à avoir un peu plus de répondant que lors de leurs trois précédents matches de préparation au tournoi olympique, face à l'Italie et la Côte d'ivoire. Les Anglais ont fait mieux que répondre, ils ont mené les débats et poussé la France à une belle réaction pour l'emporter (79-74). «On voulair savoir si on avait les tripes pour revenir de ces matches-là», expliquait après coup le capitaine Boris Diaw au micro de Sport+. La réponse est oui. Menés de 18 points à la pause (25-43) après une première mi-temps poussive, les hommes de Vincent Collet ont réussi à refaire leur retard.
En tête depuis la 7e minute grâce à un tir à 3 points de l'ailier des Bulls, Luol Deng (23 pts), la Grande-Bretagne n'a cessé d'accroître l'écart au score, profitant de la faiblesse offensive des Français, privée de Tony Parker. Le meneur des Spurs n'a joué que six minutes. Elle était loin, la victoire facile de l'an passé (82-60). Boris Diaw a alors remué ses coéquipiers à la pause, et réussi son coup. L'entrée de Yakhouba Diawara, non sélectionné pour les JO de Londres, a contribué à la relance (14 pts en 15 minutes). Kévin Séraphin a marqué le panier de l'égalité (68-68) à quatre minutes du terme et ses coéquipiers ont enfoncé le clou. L'heure n'était plus aux questions. Le jeune Léo Westermann (19 ans) s'est même offert ses deux premiers points en sélection.
Au final, c'est une victoire dans la douleur pour les Bleus qui vont devoir procéder à «quelques réglages», comme l'a souligné Boris Diaw, avant d'affronter les doubles champions d'Europe espagnols, mardi prochain : «C'est un problème de se sentir l'équipe favorite, donc face à l'Espagne, on sera dans une autre position.»