Kevin Nash a récemment été interviewé par The Sun et voici les faits saillants à propos:
Du fait qu’il aimerait encore travailler avec CM Punk :
« J’aimerais encore faire quelque chose avec CM Punk à l’avenir, je pense que nous avons un chapitre qui est encore ouvert. A l’origine, je devais me confrontrer à Punk mais c’est finalement le Hunter qui s’est mis devant moi. Je sais que je ne pouvais pas contourner les scripts pour les promos que j’ai fait. Je pense qu’il y avait une plus grande marge de manoeuvre pour moi. Mon boulot était de venir en tant que heel et je pense avoir très bien fait mon job. Je ne demandais aucune admiration de la part des fans. Mon travail ne consistait pas d’être drôle, je me devais d’être une bête noire, et c’est ce que j’ai fait. »
De sa place dans la lutte :
« J’ai eu mon temps. A ce stade, si je peux faire quelque chose pour aider quelqu’un afin qu’il puisse grimper les échelons et devenir une plus grande star, je remplirai donc mes nouveaux objectifs. Mon boulot n’est pas de devenir champion mondial. Je ne peux pas débarquer et travailler 300 jours par année, et si je ne peux pas le faire, je ne peux pas espérer quoi que ce soit. Je suis réaliste. Je sais que mes jours sont comptés dans ce business, mais je pense que j’en ferai toujours partie quoi qu’il en soit. Il n’a rien qui puisse mieux me définir que la lutte professionnelle. Je l’aime toujours. »
Du fait qu’il aimerait encore travailler avec CM Punk :
« J’aimerais encore faire quelque chose avec CM Punk à l’avenir, je pense que nous avons un chapitre qui est encore ouvert. A l’origine, je devais me confrontrer à Punk mais c’est finalement le Hunter qui s’est mis devant moi. Je sais que je ne pouvais pas contourner les scripts pour les promos que j’ai fait. Je pense qu’il y avait une plus grande marge de manoeuvre pour moi. Mon boulot était de venir en tant que heel et je pense avoir très bien fait mon job. Je ne demandais aucune admiration de la part des fans. Mon travail ne consistait pas d’être drôle, je me devais d’être une bête noire, et c’est ce que j’ai fait. »
De sa place dans la lutte :
« J’ai eu mon temps. A ce stade, si je peux faire quelque chose pour aider quelqu’un afin qu’il puisse grimper les échelons et devenir une plus grande star, je remplirai donc mes nouveaux objectifs. Mon boulot n’est pas de devenir champion mondial. Je ne peux pas débarquer et travailler 300 jours par année, et si je ne peux pas le faire, je ne peux pas espérer quoi que ce soit. Je suis réaliste. Je sais que mes jours sont comptés dans ce business, mais je pense que j’en ferai toujours partie quoi qu’il en soit. Il n’a rien qui puisse mieux me définir que la lutte professionnelle. Je l’aime toujours. »