Avec un peu moins de deux semaines avant WrestleMania XXVIII, la suspension de soixante jours pour violation de la politique de bien-être d’Evan Bourne a expiré ce samedi. Il est donc désormais capable de revenir à la WWE.
Après avoir perdu le WWE Tag Team Championship face à Epico et Primo le 15 janvier 2012 lors d’un house show, la WWE a annoncé deux jours plus tard que Bourne serait suspendu pour 60 jours en raison de son non-respect de leur politique de dépistage de drogues. Il a d’abord été suspendu le 1er novembre 2011 après un échec au test de drogue après que ce dernier ait consommé un substitut de marijuana. Selon PWInsider.com, la raison de sa deuxième suspension était complètement différente de la première.
Bourne devra encore faire face au dépistage à la suite de sa deuxième suspension, soit prochainement, comme le stipule la politique de bien-être qui mentionne bien qu’un lutteur ayant été contrôlé positif devra subir un minimum 12 tests durant une période d’un an. Selon les termes de la politique, une troisième infraction entraînerait une résiliation du contrat. En cas de licenciement, le lutteur aura le droit d’effectuer un éventuel retour seulement un an après sa libération avec la fédération.
En plus d’Evan Bourne, Randy la pouffiasse, Booker T et William Regal ont déjà écopé de deux suspensions et n’ont plus le droit à l’erreur.
Après avoir perdu le WWE Tag Team Championship face à Epico et Primo le 15 janvier 2012 lors d’un house show, la WWE a annoncé deux jours plus tard que Bourne serait suspendu pour 60 jours en raison de son non-respect de leur politique de dépistage de drogues. Il a d’abord été suspendu le 1er novembre 2011 après un échec au test de drogue après que ce dernier ait consommé un substitut de marijuana. Selon PWInsider.com, la raison de sa deuxième suspension était complètement différente de la première.
Bourne devra encore faire face au dépistage à la suite de sa deuxième suspension, soit prochainement, comme le stipule la politique de bien-être qui mentionne bien qu’un lutteur ayant été contrôlé positif devra subir un minimum 12 tests durant une période d’un an. Selon les termes de la politique, une troisième infraction entraînerait une résiliation du contrat. En cas de licenciement, le lutteur aura le droit d’effectuer un éventuel retour seulement un an après sa libération avec la fédération.
En plus d’Evan Bourne, Randy la pouffiasse, Booker T et William Regal ont déjà écopé de deux suspensions et n’ont plus le droit à l’erreur.