« Je n’ai jamais été contacté par les Qataris, directement ou indirectement, a affirmé le président de l’OL. Par contre, il y a d’autres émirats qui ont eux vocation à venir. Il y a deux autres émirats qui ont les moyens d’investir dans un club européen, il y a tout d’abord Abu Dhabi et Dubaï et on peut aussi rajouter également l’Arabie saoudite, a-t-il précisé. Je fais partie des gens qui s’intéressent à cette partie du monde. On a d’ailleurs signé il y a trois ans un accord de partenariat avec Dubaï pour créer là-bas un institut de football. »
Au mercato d’hiver, Lyon a signé l’arrivée sous forme de prêt du jeune Hamdan Al Kamali en provenance d’Al Whada aux Émirats Arabes Unis. Un transfert qui ouvre aujourd’hui une porte au club à de potentiels investisseurs émiratis. « Je vais me rendre les 19 et 20 mars à Abu Dhabi dans le cadre de l’accord avec Hamdan Al Kamali, a annoncé Jean-Michel Aulas. Il y a eu d’autres investisseurs qui se sont intéressés non pas à l’OL en tant que tel, mais au projet du Grand Stade. »
Actuellement en difficultés financières après l’annonces mercredi de nouvelles pertes (-4,6M€), l’OL se lance donc vers de nouveaux horizons pour tenter de trouver de nouveaux investisseurs. La Chine est également dans le viseur du club où Florian Maurice prospecte actuellement à la recherche de nouveaux talents.