La semaine dernière, le Rubin Kazan a tenté de recruter Kim Källström dans les dernières heures du mercato Russe. Mais le transfert n’a pas abouti car l’OL n’a pas voulu se séparer de son milieu de terrain suédois à l’inter-saison. Pourtant, Källström était lui séduit par le projet du club russe et avoue aujourd’hui dans le journal suédois Aftonbladet qu’il pourrait signer à Kazan dès cet été.
Källström n’est pas parti la semaine dernière au Rubin Kazan car « Lyon a dit non » . « Cela aurait été excitant, concède-t-il. Cela aurait été un beau challenge et le club a davantage de moyens financiers que Lyon. Aurais-je été séduit par cette aventure ? Pourquoi pas ? Mais Lyon a dit non. Ce n’était pas le bon moment pour partir. Nous avons un printemps intéressant devant nous, avec notamment la Ligue des Champions »
« Les cartes du football en Europe sont redistribuées, explique-t-il. Les Russes ont du succès dans les compétitions européennes. Il y aura la Coupe du monde là-bas dans quelques années (ndlr, en 2018) et le pays et le championnat se préparent pour l’évènement ». Plus que le sportif, l’aspect financier a également joué important dans les négociations. Et pour cause, le président du Rubin Kazan aurait proposé à Källström le triple de son salaire actuel soit près de 10M€ par an alors qu’il ne touche à l’OL « que » 3,7M€...
« Ils paient de bons salaires, avoue le suédois. On verra cet été. C’est que le président a dit. Chaque été, les cartes sont rebattues. Et il est clair que les perspectives changent lorsque le championnat est terminé ». Jean-Michel Aulas a d’ailleurs affirmé la semaine dernière que les deux clubs continuaient de négocier pour un transfert de Källström au Rubin Kazan au prochain mercato.
Källström n’est pas parti la semaine dernière au Rubin Kazan car « Lyon a dit non » . « Cela aurait été excitant, concède-t-il. Cela aurait été un beau challenge et le club a davantage de moyens financiers que Lyon. Aurais-je été séduit par cette aventure ? Pourquoi pas ? Mais Lyon a dit non. Ce n’était pas le bon moment pour partir. Nous avons un printemps intéressant devant nous, avec notamment la Ligue des Champions »
« Les cartes du football en Europe sont redistribuées, explique-t-il. Les Russes ont du succès dans les compétitions européennes. Il y aura la Coupe du monde là-bas dans quelques années (ndlr, en 2018) et le pays et le championnat se préparent pour l’évènement ». Plus que le sportif, l’aspect financier a également joué important dans les négociations. Et pour cause, le président du Rubin Kazan aurait proposé à Källström le triple de son salaire actuel soit près de 10M€ par an alors qu’il ne touche à l’OL « que » 3,7M€...
« Ils paient de bons salaires, avoue le suédois. On verra cet été. C’est que le président a dit. Chaque été, les cartes sont rebattues. Et il est clair que les perspectives changent lorsque le championnat est terminé ». Jean-Michel Aulas a d’ailleurs affirmé la semaine dernière que les deux clubs continuaient de négocier pour un transfert de Källström au Rubin Kazan au prochain mercato.