Jo-Wilfried Tsonga et Michaël Llodra sont assurés d'une finale olympique : ils ont pris le meilleur sur la paire espagnole Ferrer-Lopez (6-3, 4-6, 18-16), vendredi, en demi-finale.
Le couperet est passé près. Mais il n'est pas tombé et, ce week-end, Jo-Wilfried Tsonga et Michaël Llodra auront le cou auréolé d'une médaille olympique. Elle sera au moins en argent, peut-être en or, si les deux Français réussissent là où Gasquet et Benneteau ont échoué, vendredi dans l'autre demi-finale : faire tomber les frères Bryan. «Les Bryan, c'est du costaud. Mais Llodra-Tsonga, c'est costaud aussi. Sur un match, tout est possible», dit Llodra, fou de bonheur. Une joie proportionnelle aux difficultés rencontrées quelques minutes plus tôt face à David Ferrer et Feliciano Lopez.
La paire tricolore a en effet dû sauver quatre balles de match pour croire encore à ses chances de finale. Puis elle est venue à bout des Espagnols en plus de 3h20 de jeu (6-3, 4-6, 18-16). «C'est magique, tellement bon de gagner ces matches avec un scénario incroyable, a repris Llodra. On est passé par tous les états dans la tête. C'est tout simplement du bonheur.» Tsonga renchérit : «C'est exceptionnel, j'en ai rêvé, j'y suis. Je me doutais que ça allait être dur physiquement dans ces Jeux, mais je ne regrette pas. Je savais qu'on avait une une chance d'aller chercher quelque chose avec Mika. Maintenant, il faut essayer d'aller chercher la plus grosse (médaille).»
Pour cela, le Manceau et le Parisien comptent s'appuyer sur «l'esprit olympique.» «Pour aller chercher ces médailles, il ne faut pas seulement faire ce qu'on sait faire, mais aller plus loin, grâce au groupe», estime Tsonga. «C'est un sport de fou, honnêtement, on est un peu maso», s'exclame Llodra, avant de se remémorer le film de la rencontre : «Quand je sauve ces balles de match à 0-40, je n'ai pas le temps de gamberger. J'essaye de le surprendre et je vais chercher la balle plus haut pour taper fort. Je passe trois premières balles, ça aide. Jo m'a tenu. Il me disait : ''On lâche pas".» «C'est pour ça qu'on avait décidé de jouer ensemble, pour aller chercher ce genre d'émotions», a ajouté le gaucher.
Le couperet est passé près. Mais il n'est pas tombé et, ce week-end, Jo-Wilfried Tsonga et Michaël Llodra auront le cou auréolé d'une médaille olympique. Elle sera au moins en argent, peut-être en or, si les deux Français réussissent là où Gasquet et Benneteau ont échoué, vendredi dans l'autre demi-finale : faire tomber les frères Bryan. «Les Bryan, c'est du costaud. Mais Llodra-Tsonga, c'est costaud aussi. Sur un match, tout est possible», dit Llodra, fou de bonheur. Une joie proportionnelle aux difficultés rencontrées quelques minutes plus tôt face à David Ferrer et Feliciano Lopez.
La paire tricolore a en effet dû sauver quatre balles de match pour croire encore à ses chances de finale. Puis elle est venue à bout des Espagnols en plus de 3h20 de jeu (6-3, 4-6, 18-16). «C'est magique, tellement bon de gagner ces matches avec un scénario incroyable, a repris Llodra. On est passé par tous les états dans la tête. C'est tout simplement du bonheur.» Tsonga renchérit : «C'est exceptionnel, j'en ai rêvé, j'y suis. Je me doutais que ça allait être dur physiquement dans ces Jeux, mais je ne regrette pas. Je savais qu'on avait une une chance d'aller chercher quelque chose avec Mika. Maintenant, il faut essayer d'aller chercher la plus grosse (médaille).»
Pour cela, le Manceau et le Parisien comptent s'appuyer sur «l'esprit olympique.» «Pour aller chercher ces médailles, il ne faut pas seulement faire ce qu'on sait faire, mais aller plus loin, grâce au groupe», estime Tsonga. «C'est un sport de fou, honnêtement, on est un peu maso», s'exclame Llodra, avant de se remémorer le film de la rencontre : «Quand je sauve ces balles de match à 0-40, je n'ai pas le temps de gamberger. J'essaye de le surprendre et je vais chercher la balle plus haut pour taper fort. Je passe trois premières balles, ça aide. Jo m'a tenu. Il me disait : ''On lâche pas".» «C'est pour ça qu'on avait décidé de jouer ensemble, pour aller chercher ce genre d'émotions», a ajouté le gaucher.
