Tenante du titre, l'Espagne a remporté l'Euro des moins de 19 ans en battant la Grèce (1-0) en finale dimanche à Tallinn.
L'Espagne a encore de beaux jours devant elle. Après les A titrés le 1er juillet dernier en Ukraine, ce sont les U 19 qui ont été sacrés champions d'Europe dans leur catégorie, dimanche soir, à Tallinn. Comme en 2007 (1-0), la sélection ibère a disposé de la Grèce (1-0) en finale. Son succès a toutefois été long à se dessiner. Les joueurs de Julen Lopetegui ont attendu les dix dernières minutes et une réalisation de Jesé Rodríguez (80e) pour remporter leur deuxième couronne d'affilée, la sixième de leur histoire.
Tombeurs de la France (3-3, 4 t.a.b. à 2) en demi-finale, les Espagnols ont dû s'armer de patience pour venir à bout d'un adversaire qui leur avait déjà posé beaucoup de problèmes lors de la phase de poules (2-1). Malgré une domination et une supériorité technique évidente (17 tirs à 6), Deulofeu et ses équipiers n'ont pas su forcer le verrou grec. La faute à un manque de réalisme criant. La faute aussi au portier grec Dioudis décisif devant Campaña (56e), Jesé Rodríguez (61e) ou encore Grimaldo (61e).
Très actif, certainement le joueur à avoir le plus tenté sa chance au cours de cette finale (2e, 5e, 18e, 45e, 57e, 61e), Jesé Rodríguez a finalement été récompensé de sa persévérance. L'attaquant du Real Madrid a libéré son équipe au moment où on ne l'attendait plus. Son sixième but en cinq matches vaut de l'or. Il maintient l'Espagne au sommet de l'Europe.
L'Espagne a encore de beaux jours devant elle. Après les A titrés le 1er juillet dernier en Ukraine, ce sont les U 19 qui ont été sacrés champions d'Europe dans leur catégorie, dimanche soir, à Tallinn. Comme en 2007 (1-0), la sélection ibère a disposé de la Grèce (1-0) en finale. Son succès a toutefois été long à se dessiner. Les joueurs de Julen Lopetegui ont attendu les dix dernières minutes et une réalisation de Jesé Rodríguez (80e) pour remporter leur deuxième couronne d'affilée, la sixième de leur histoire.
Tombeurs de la France (3-3, 4 t.a.b. à 2) en demi-finale, les Espagnols ont dû s'armer de patience pour venir à bout d'un adversaire qui leur avait déjà posé beaucoup de problèmes lors de la phase de poules (2-1). Malgré une domination et une supériorité technique évidente (17 tirs à 6), Deulofeu et ses équipiers n'ont pas su forcer le verrou grec. La faute à un manque de réalisme criant. La faute aussi au portier grec Dioudis décisif devant Campaña (56e), Jesé Rodríguez (61e) ou encore Grimaldo (61e).
Très actif, certainement le joueur à avoir le plus tenté sa chance au cours de cette finale (2e, 5e, 18e, 45e, 57e, 61e), Jesé Rodríguez a finalement été récompensé de sa persévérance. L'attaquant du Real Madrid a libéré son équipe au moment où on ne l'attendait plus. Son sixième but en cinq matches vaut de l'or. Il maintient l'Espagne au sommet de l'Europe.