Au terme d'une descente de police ce mardi matin, le coureur français de la Cofidis Rémy Di Grégorio a été interpellé puis placé en garde à vue.
Ce mardi matin, jour de repos pour les coureurs du Tour de France, l'équipe Cofidis a reçu la visite des policiers et gendarmes de l'Office central contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique, à son hôtel de Bourg-en-Bresse (Ain), a-t-on appris auprès du parquet de Bourg-en-Bresse. Cette descente s'est effectuée à la demande du juge d'instruction de Marseille, Annaïck Le Goff. Selon Europe 1, un coureur a été interpellé dès lundi soir. Il s'agit de Rémy Di Grégorio, Marseillais d'origine et installé dans la région, ce qui ferait le lien avec l'instruction du juge local, ouverte semble-t-il il y a un an déjà, à l'époque où Di Gregorio évoluait sous les couleurs d'Astana.
L'agence Reuters annonce pour sa part que le Français, parfois présenté comme le nouveau Richard Virenque, auditionné dans les locaux de la gendarmerie à Marseille depuis la veille, a été placé sous le régime de la garde à vue. Deux autres personnes, pour l'heure non identifiées, ont également été placées en garde à vue dans le cadre de cette enquête. Pour rappel, l'Office central contre les atteintes à l'environnement (OCLAESP), rattaché à la gendarmerie nationale, et son groupe «enquêtes criminelles Santé publique», s'intéresse principalement aux déviances médicales ou paramédicales comme l'exercice illégal des professions de santé, les infractions concernant les éléments du corps humain, les trafics de médicaments, ainsi que que la lutte contre le dopage.
La formation Cofidis, qui tiendra une conférence de presse dans l'après-midi, a rapidement confirmé une première sanction à l'encontre de son coureur. «Les soupçons qui pèsent sur le coureur mis en causenous amènent à appliquer de manière stricte et immédiate les sanctions en vigueur dans notre équipe concernant la violation des règles d'éthique. Rémy di Grégorio est donc suspendu, dès à présent, à titre conservatoire, dans l'attente de plus amples informations concernant la réalité des faits qui lui sont reprochés, Si ces faits sont établis, celui-ci sera licencié sur le champ comme le prévoient les termes de son contrat et la politique d'éthique de l'équipe», précise la formation française, qui n'entend pas pour autant quitter le Tour, comme cela avait été le cas en 2007 suite au cas Cristian Moreni. «Ce cas isolé ne doit pas remettre en cause la participation de l'équipe au Tour de France et pénaliser ceux qui n'ont rien à se reprocher.»
Ce mardi matin, jour de repos pour les coureurs du Tour de France, l'équipe Cofidis a reçu la visite des policiers et gendarmes de l'Office central contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique, à son hôtel de Bourg-en-Bresse (Ain), a-t-on appris auprès du parquet de Bourg-en-Bresse. Cette descente s'est effectuée à la demande du juge d'instruction de Marseille, Annaïck Le Goff. Selon Europe 1, un coureur a été interpellé dès lundi soir. Il s'agit de Rémy Di Grégorio, Marseillais d'origine et installé dans la région, ce qui ferait le lien avec l'instruction du juge local, ouverte semble-t-il il y a un an déjà, à l'époque où Di Gregorio évoluait sous les couleurs d'Astana.
L'agence Reuters annonce pour sa part que le Français, parfois présenté comme le nouveau Richard Virenque, auditionné dans les locaux de la gendarmerie à Marseille depuis la veille, a été placé sous le régime de la garde à vue. Deux autres personnes, pour l'heure non identifiées, ont également été placées en garde à vue dans le cadre de cette enquête. Pour rappel, l'Office central contre les atteintes à l'environnement (OCLAESP), rattaché à la gendarmerie nationale, et son groupe «enquêtes criminelles Santé publique», s'intéresse principalement aux déviances médicales ou paramédicales comme l'exercice illégal des professions de santé, les infractions concernant les éléments du corps humain, les trafics de médicaments, ainsi que que la lutte contre le dopage.
La formation Cofidis, qui tiendra une conférence de presse dans l'après-midi, a rapidement confirmé une première sanction à l'encontre de son coureur. «Les soupçons qui pèsent sur le coureur mis en causenous amènent à appliquer de manière stricte et immédiate les sanctions en vigueur dans notre équipe concernant la violation des règles d'éthique. Rémy di Grégorio est donc suspendu, dès à présent, à titre conservatoire, dans l'attente de plus amples informations concernant la réalité des faits qui lui sont reprochés, Si ces faits sont établis, celui-ci sera licencié sur le champ comme le prévoient les termes de son contrat et la politique d'éthique de l'équipe», précise la formation française, qui n'entend pas pour autant quitter le Tour, comme cela avait été le cas en 2007 suite au cas Cristian Moreni. «Ce cas isolé ne doit pas remettre en cause la participation de l'équipe au Tour de France et pénaliser ceux qui n'ont rien à se reprocher.»