George Hincapie, Levi Leipheimer, Christian Vande Velde, David Zabriskie, tous les quatre anciens équipiers de Lance Armstrong ont reconnu s'être dopés et témoignent contre leur ex-leader.
George Hincapie, Levi Leipheimer, Christian Vande Velde et David Zabriskie ont témoigné contre Lance Armstrong. C'est dans le cadre d'une enquête de l'Agence américaine antidopage (USADA) à l'encontre du septuple vainqueur du Tour que leurs témoignages ont été recueillis selon le journal néerlandais De Telegraaf. Les quatre coureurs américains, qui participent actuellement au Tour de France avec leurs équipes respectives, ont reconnu s'être dopés et seraient suspendus six mois à l'issue de la saison, affirme le journal.
Jonathan Vaughters, actuel manager de l'équipe Garmin, dont le nom est également cité dans l'article, a démenti sur Twitter toute suspension concernant son équipe. «Aucune suspension de six mois n'a été signifiée à aucun membre de Slipstream Sports (ndlr: Garmin). Ni aujourd'hui (jeudi) ni à une date ultérieure», a-t-il ainsi affirmé alors que Vande Velde et Zabriskie font partie de son équipe et que son propre nom apparaîtrait pourtant dans la liste des témoignages. Dans la lettre détaillant les charges contre Armstrong et ses collaborateurs, l'USADA mentionnait dix témoins, cyclistes ou anciens employés des équipes de l'Américain, sans donner leur nom.
L'étau se resserre donc autour de Lance Armstrong, depuis que l'agence antidopage américaine a reçu le feu vert la semaine dernière d'un comité d'experts indépendants pour mettre officiellement en accusation Armstrong et cinq autres collaborateurs, dont son ancien directeur sportif belge Johan Bruyneel - actuellement chez RadioShack - et son ex-préparateur italien Michele Ferrari. Armstrong devrait être entendu d'ici le 22 novembre par une commission d'arbitrage. Le verdict sera susceptible d'appel devant le Tribunal arbitral du sport à Lausanne. Le Texan, qui a nié en bloc toutes ces accusations, est accusé par la justice sportive d'avoir eu recours à l'EPO, aux transfusions sanguines, à la testostérone, à la cortisone et à l'hormone de croissance, et d'avoir aussi poussé d'autres coureurs au dopage.
George Hincapie, Levi Leipheimer, Christian Vande Velde et David Zabriskie ont témoigné contre Lance Armstrong. C'est dans le cadre d'une enquête de l'Agence américaine antidopage (USADA) à l'encontre du septuple vainqueur du Tour que leurs témoignages ont été recueillis selon le journal néerlandais De Telegraaf. Les quatre coureurs américains, qui participent actuellement au Tour de France avec leurs équipes respectives, ont reconnu s'être dopés et seraient suspendus six mois à l'issue de la saison, affirme le journal.
Jonathan Vaughters, actuel manager de l'équipe Garmin, dont le nom est également cité dans l'article, a démenti sur Twitter toute suspension concernant son équipe. «Aucune suspension de six mois n'a été signifiée à aucun membre de Slipstream Sports (ndlr: Garmin). Ni aujourd'hui (jeudi) ni à une date ultérieure», a-t-il ainsi affirmé alors que Vande Velde et Zabriskie font partie de son équipe et que son propre nom apparaîtrait pourtant dans la liste des témoignages. Dans la lettre détaillant les charges contre Armstrong et ses collaborateurs, l'USADA mentionnait dix témoins, cyclistes ou anciens employés des équipes de l'Américain, sans donner leur nom.
L'étau se resserre donc autour de Lance Armstrong, depuis que l'agence antidopage américaine a reçu le feu vert la semaine dernière d'un comité d'experts indépendants pour mettre officiellement en accusation Armstrong et cinq autres collaborateurs, dont son ancien directeur sportif belge Johan Bruyneel - actuellement chez RadioShack - et son ex-préparateur italien Michele Ferrari. Armstrong devrait être entendu d'ici le 22 novembre par une commission d'arbitrage. Le verdict sera susceptible d'appel devant le Tribunal arbitral du sport à Lausanne. Le Texan, qui a nié en bloc toutes ces accusations, est accusé par la justice sportive d'avoir eu recours à l'EPO, aux transfusions sanguines, à la testostérone, à la cortisone et à l'hormone de croissance, et d'avoir aussi poussé d'autres coureurs au dopage.