S’il reste encore une journée à disputer dans le championnat de France, la Ligue 1 a malgré tout d’ores et déjà livré certains verdicts. C’est ainsi qu’Auxerre a officiellement été relégué en Ligue 2 après sa défaite concédée contre l’Olympique de Marseille. Mais la course à la Ligue des Champions a également vu son suspense prendre fin, le trio composé de Montpellier, du Paris Saint-Germain et de Lille ayant validé leurs tickets pour la Coupe aux grandes oreilles, au grand dam d’un Olympique Lyonnais qui faisait partie de ce wagon depuis 13 saisons sans discontinuer. La France du foot va donc devoir faire sans l’un de ses représentants phares en C1 lors des exercices précédents, et remet tous ses espoirs entre les mains héraultaises, franciliennes, et nordistes.
Et pourtant, il faudra sans doute croiser les doigts et espérer un sacré coup de pouce de la providence pour voir ces trois écuries représenter haut les couleurs tricolores. Car sur le papier, la tâche s’annonce plus que compliquée. Le cas de Montpellier est assez saisissant. Sans doute sacrés champions de France, les pensionnaires du Stade de la Mosson doivent composer avec un indice UEFA tout bonnement catastrophique : avec 11.835 points, le MHSC se situe entre le Levski Sofia et Sturm Graz. Les hommes de la Paillade seront donc dans le dernier chapeau, et devraient se voir offrir un groupe plus que compliqué à négocier. À titre d’exemple, dans le pire des cas, Louis Nicollin et les siens pourraient tomber sur le Real Madrid, Manchester City et la Juventus. Cela s’annonce autrement dit mission impossible.
Mais le PSG et le LOSC ne sont guère mieux lotis. 48e à l’indice UEFA, le club de la capitale est loin de faire figure d’épouvantail sur la scène européenne. C’est donc dans le troisième chapeau que les pensionnaires du Parc des Princes pourraient se situer, les deux premiers étant d’ores et déjà hors de portée. Enfin, reste donc le cas des Dogues. Présents dans le troisième chapeau cette saison, les hommes de Rudi Garcia n’ont que très peu de chances de se retrouver dans cette situation. Il faudrait en effet que des équipes telles que le Dynamo Kiev, le Spartak Moscou, Fenerbahçe, Bâle ou Braga soient éliminés durant le tour préliminaire pour que les Lillois soient reversés dans un meilleur chapeau, sans compter qu’ils devront également se défaire d’un adversaire d’un grand championnat en barrages. Les choses sont donc claires : les clubs français devront se transcender pour espérer réaliser une belle campagne de Ligue des Champions.
Et pourtant, il faudra sans doute croiser les doigts et espérer un sacré coup de pouce de la providence pour voir ces trois écuries représenter haut les couleurs tricolores. Car sur le papier, la tâche s’annonce plus que compliquée. Le cas de Montpellier est assez saisissant. Sans doute sacrés champions de France, les pensionnaires du Stade de la Mosson doivent composer avec un indice UEFA tout bonnement catastrophique : avec 11.835 points, le MHSC se situe entre le Levski Sofia et Sturm Graz. Les hommes de la Paillade seront donc dans le dernier chapeau, et devraient se voir offrir un groupe plus que compliqué à négocier. À titre d’exemple, dans le pire des cas, Louis Nicollin et les siens pourraient tomber sur le Real Madrid, Manchester City et la Juventus. Cela s’annonce autrement dit mission impossible.
Mais le PSG et le LOSC ne sont guère mieux lotis. 48e à l’indice UEFA, le club de la capitale est loin de faire figure d’épouvantail sur la scène européenne. C’est donc dans le troisième chapeau que les pensionnaires du Parc des Princes pourraient se situer, les deux premiers étant d’ores et déjà hors de portée. Enfin, reste donc le cas des Dogues. Présents dans le troisième chapeau cette saison, les hommes de Rudi Garcia n’ont que très peu de chances de se retrouver dans cette situation. Il faudrait en effet que des équipes telles que le Dynamo Kiev, le Spartak Moscou, Fenerbahçe, Bâle ou Braga soient éliminés durant le tour préliminaire pour que les Lillois soient reversés dans un meilleur chapeau, sans compter qu’ils devront également se défaire d’un adversaire d’un grand championnat en barrages. Les choses sont donc claires : les clubs français devront se transcender pour espérer réaliser une belle campagne de Ligue des Champions.